1 junio 2009
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15:04
Un homme?
Cela me trotte dans la tête depuis quelques jours:
pour quoi quand on voit un mendiant on entend :
- le pauvre!
- encore un!
- évidemment un immigré!
- il y en a de plus en plus.
- un beur...
- un roumain, avec l'Europe...
- il est passé par l'Aphganistan....
??????????????????????????????????????????????????????????????????????
Mème moi je ne supporte pas de les voir traînant assis par terre, il me semble qu'ils ont abdiqué leur dignité d'homme debout.
En écrivant "homme debout" je me rends compte qu'en effet c'est ça, c'est ce qui nous distingue des autres animaux.
Mais qu'est-ce qu'on pourrait faire? dire?
Dans mon passage parisien il y a deux SDF, jeunes, blancs, ayant passé par l'école, ils lisent des livres en ce moment au soleil, et un chien quasi un labrador qui les fait bien aimer des memères à chien du quartier qui leur apportent la pitance, ils ont installé leurs tentes face à face, tendu une bâche à auto par dessus, et mis un vieux tapis rammassé dans les ordures au sol, ce qui leur fait leur espace salon. En rentrant j'ai vu qu'ils avaient fabriqué une niche pour le chien, toujours avec de la bâche, en dehors du périmètre personnel humain, évidemment une radio il ne manque que l'électricité, pour l'heure ils consultent le parcmètre.
Le remède n'est pas individuel, et d'autres façonnent le sens collectif.
Cela ne me satisfait pas.
PS - je ne peux mettre aucune photo, tant que je n'ai pas appris comment ouvrir un autre album.
¿Un hombre?
Da vueltas en mi mente desde hace días:
¿por qué cuando vemos a un mendigo, una oye........?
- ¡pobre!
- ¡otro!
- ¡claro un migrante!
- cada vez hay más
- un magrebí
- un rumano, con Europa
- uno de los que pasaron por Afganistán
????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Hasta yo misma, no soporto verlos arrastrados por los suelos, me hace el efecto que han abdicado su dignidad de hombre de pie
Al escribir hombre de pie, me doy cuenta que es cierto, es lo que nos distingue de los demás animales.
Pero ¿qué podemos hacer? ¿decir?
En mi pasaje parisino hay dos Sintecho, jóvenes, blancos, fueron a la escuela, leen libros en estos momentos al sol. Tienen un perro casi labrador lo que les hace querer de las abuelas con perritos que les traen la pitanza. Instalaron sus tiendas frente a frente, por encima tendieron una baca de coche, y un tapiz viejo encontrado en la basura en el suelo lo que les da un espacio salón. Al volver ví que habían fabricado na casita al perro siempre con tela de baca azul fuera del perimetro personal humano, también tienen radio sólo falta la electricidad, para saber la hora consultan el parcometro.
El remedio no es personal y otros dan forma al sentido colectivo.
No me satisface.
PS no puedo poner fotos hasta que no aprenda a crear un album.
Cela me trotte dans la tête depuis quelques jours:
pour quoi quand on voit un mendiant on entend :
- le pauvre!
- encore un!
- évidemment un immigré!
- il y en a de plus en plus.
- un beur...
- un roumain, avec l'Europe...
- il est passé par l'Aphganistan....
??????????????????????????????????????????????????????????????????????
Mème moi je ne supporte pas de les voir traînant assis par terre, il me semble qu'ils ont abdiqué leur dignité d'homme debout.
En écrivant "homme debout" je me rends compte qu'en effet c'est ça, c'est ce qui nous distingue des autres animaux.
Mais qu'est-ce qu'on pourrait faire? dire?
Dans mon passage parisien il y a deux SDF, jeunes, blancs, ayant passé par l'école, ils lisent des livres en ce moment au soleil, et un chien quasi un labrador qui les fait bien aimer des memères à chien du quartier qui leur apportent la pitance, ils ont installé leurs tentes face à face, tendu une bâche à auto par dessus, et mis un vieux tapis rammassé dans les ordures au sol, ce qui leur fait leur espace salon. En rentrant j'ai vu qu'ils avaient fabriqué une niche pour le chien, toujours avec de la bâche, en dehors du périmètre personnel humain, évidemment une radio il ne manque que l'électricité, pour l'heure ils consultent le parcmètre.
Le remède n'est pas individuel, et d'autres façonnent le sens collectif.
Cela ne me satisfait pas.
PS - je ne peux mettre aucune photo, tant que je n'ai pas appris comment ouvrir un autre album.
¿Un hombre?
Da vueltas en mi mente desde hace días:
¿por qué cuando vemos a un mendigo, una oye........?
- ¡pobre!
- ¡otro!
- ¡claro un migrante!
- cada vez hay más
- un magrebí
- un rumano, con Europa
- uno de los que pasaron por Afganistán
????????????????????????????????????????????????????????????????????????
Hasta yo misma, no soporto verlos arrastrados por los suelos, me hace el efecto que han abdicado su dignidad de hombre de pie
Al escribir hombre de pie, me doy cuenta que es cierto, es lo que nos distingue de los demás animales.
Pero ¿qué podemos hacer? ¿decir?
En mi pasaje parisino hay dos Sintecho, jóvenes, blancos, fueron a la escuela, leen libros en estos momentos al sol. Tienen un perro casi labrador lo que les hace querer de las abuelas con perritos que les traen la pitanza. Instalaron sus tiendas frente a frente, por encima tendieron una baca de coche, y un tapiz viejo encontrado en la basura en el suelo lo que les da un espacio salón. Al volver ví que habían fabricado na casita al perro siempre con tela de baca azul fuera del perimetro personal humano, también tienen radio sólo falta la electricidad, para saber la hora consultan el parcometro.
El remedio no es personal y otros dan forma al sentido colectivo.
No me satisface.
PS no puedo poner fotos hasta que no aprenda a crear un album.
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